Résultats atteints

Les réalisations clés des cinq années de mise en œuvre du Projet

Le Projet Neer-Tamba dont les accords de financement ont été signés en 2013 et en 2014 a véritablement démarré ses activités en 2015. Au terme de cinq (05) années effectives de mise en œuvre (2015-2019), des acquis ont été engrangés parmi lesquels on peut citer :

Petits aménagements fonciers villageois

Bas-fonds aménagés

5 057 ha de bas-fonds aménagés

Récupération mécanisés

3 114 ha de récupération mécanisés et biologiques des terres dégradées réalisées

Autres Aménagements

23 490 ha de superficie de CES/DRS aménagés dont :
3 523 ha de cordons pierreux ;
27 ha de digue filtrante ;
3 218 ha de zaï ;
345 ha de demi-lune.

77 ha de périmètre maraîcher

Ententes foncières

257 ententes foncières ont été formalisées sur les bas-fonds aménagés sous la supervision de la DGFORM

Intensification des petites exploitations et valorisation de leurs productions

Ménages de producteurs

45 220 ménages de producteurs ont bénéficié de l’appui conseil pour l’amélioration des productions

Appui à la mise en valeur

Appui à la mise en valeur de 5 068 ha de bas-fonds et de 11 211 ha de hautes terres et de 70 ha de périmètre maraîcher

Micro-projets

2 899 micro-projets à hauteur de 3 milliards de F CFA ont été financés au profit des populations cibles

Structuration des acteurs et mise en réseaux

Ménages de producteurs

33 465 auditeurs ont bénéficié de Formation Technique Spécifique (FTS) et d’une alphabétisation fonctionnelle

Renforcement institutionnel

Le renforcement institutionnel des trois CRA dans la zone du Projet et la CNA

Appui institutionnel

Appui institutionnel à trois (03) directions régionales du développement rural par région (EST, NORD et CENTRE-NORD)

Plans de développement

Appui à l’élaboration de 76 plans de développement des unions et le financement de 31 micro-projets des Organisations Rurales (OR)

Quelques effets de l’intervention du Projet NEER-TAMBA

La valeur sociale des bas-fonds qui crée une certaine cohésion au niveau du village ;
L’acquisition d’une certaine autonomie financière ;
Les techniques CES/DRS ont permis une augmentation des superficies cultivables et de la production ;
La régénération du couvert végétal au niveau des zones dénudées ;
La diversification des sources de revenus des bénéficiaires à travers le financement de micro-projets ;
La diversification du régime alimentaire et des sources de revenus ;
Une réponse au problème d’oisiveté des jeunes ;
Une bonne connaissance des techniques d’aménagement et de production par les ménages à travers les formations techniques spécifiques.